Le régime flexitarien, qu'est-ce que c'est ?

Si vous consommez de la viande une fois par semaine vous êtes peut-être flexitarien sans même le savoir ! Issu de la contraction des mots “flexible” et “végétarisme”, le flexitarisme ou « régime flexitarien » peut être défini comme le mode de vie d’une personne végétarienne consommant très occasionnellement de la viande ou du poisson. 
 
Ce mode de consommation considéré comme “alternatif” rencontre un succès croissant depuis quelques années. Selon une enquête réalisée par iVOX1 en 2020, de plus en plus de Belge souhaitent d’ailleurs changer leurs habitudes alimentaires. Il ressort de cette même enquête que 1 Belge sur 4 (24%) mange de tout, mais essaie de réduire sa consommation de viande tendant donc à devenir flexitarien. Plus d’un tiers des Belges (35%) indiquent également qu'ils aimeraient manger plus souvent des plats végétariens.

Quelles sont les motivations pour devenir flexitarien ? 

La récente crise sanitaire a fortement impacté les intentions de consommation des Belges. Toujours selon l’enquête iVOX1, 38% des sondés indiquent qu'ils aimeraient manger plus sainement, 36% manger plus d'aliments locaux et 28% manger plus de légumes. Les motivations les plus communes sont généralement l’adoption d’un mode de vie plus sain, la réduction de la cruauté envers les animaux ou la volonté de diminuer son empreinte écologique. 
 
Et en effet, la consommation de viande entraine des dépenses des ressources naturelles et énergétiques bien plus importantes que la consommation de légumes ou légumineuses.
 
Diminuer, même légèrement sa consommation de viande et de produits dérivés de la viande entraine donc un véritable effet positif sur notre environnement direct. C’est pour cela que le flexitarisme est souvent considéré plus comme un mode de vie que comme un régime à part entière. 

Quels sont les bienfaits d’un régime flexitarien ?

Consommer moins de viande et varier son alimentation sont des actions entraînant des effets aussi positifs sur notre environnement que sur notre organisme. 
 
La consommation de viande, riche en fer et protéines, a évidemment des bénéfices reconnus pour la santé. Cela dit, nombre de recommandations nationales de santé conseillent aux individus de limiter leur consommation de viande. En Belgique, une large partie de la population consomme trop de viande en comparaison avec les apports journaliers recommandés, soit environ 70 grammes par jour.
 
Être flexitarien vous permet donc aisément de maintenir votre apport en viande à un niveau raisonnable tout en vous poussant à varier votre alimentation et à y intégrer plus de légumes et de protéines végétales. 
 
Et en Belgique comme dans de nombreux pays, il est très simple de consommer des protéines sans manger de viande grâce à des aliments comme les légumineuses, fruits secs, poisson, céréales complètes… Pour vous y aider, n’hésitez pas à découvrir notre article au sujet de l’équilibre alimentaire.

Comment devenir flexitarien et comment iglo peut nous donner un coup de pouce ?

L’adoption du flexitarisme commence dans votre panier de courses. Il ne s’agit pas seulement d’éviter un maximum la viande, mais de trouver des alternatives saines à cette dernière. Heureusement, ce type de régime alimentaire connaissant un succès de plus en plus franc en Belgique, il n’est plus nécessaire de se rendre dans des commerces alimentaires spécialisés. Vous pourrez par exemple retrouver les savoureux produits de la gamme  “Green Cuisine” d’iglo au rayon surgelés de votre supermarché. Depuis les grands classiques végétariens comme nos falafels jusqu’à de savoureux plats préparés avec nos lasagnes à la bolognaise avec haché végétarien, il y en a pour tous les goûts !
 
Et ce ne sont pas non plus les idées de recettes qui manquent. Avec le printemps, pourquoi ne pas tester une délicieuse alternative végétarienne pour vos BBQ ? Ou l’une de nos autres nombreuses idées de recettes “Green Cuisine” disponible sur notre site web.
1. Etude en ligne menée par le bureau de recherche iVox à la demande d’Iglo entre le 9 juin 2020 et le 19 juin 2020 auprès de 1.000 Belges représentatifs sur la langue, le sexe, l'âge et le diplôme. La marge d'erreur maximale pour 1.000 Belges est de 3,02%.